UNEPEL

Union Nationale des Établisements Privés d'Enseignement Laïc
Depuis 1972
Etablissements membres
Plus de 1500 établissements
Historique

Notre histoire

L’Enseignement privé laïc a vu le jour dans les années 60 quelques années après la naissance de l’Enseignement catholique. Il s’est développé à partir de 1969 lorsque les évêques ont décidé de céder les écoles primaires à l’Etat.

Après les indépendances en 1960, le rythme de création des écoles et collèges publics était largement en deçà de la demande de la population, surtout pour le passage du CMII à la 6e. L’Etat conscient de ses limites, autorise l’ouverture d’établissements privés. Pour ces raisons et pour bien d’autres, des promoteurs privés se sont engagés dans la création et l’ouverture d’établissements privés laïcs, au début à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso puis dans les autres villes du Pays.

Depuis ces époques reculées à nos jours, l’Enseignement privé laïc a connu de nombreuses mutations et de nombreux changements. Il a su s’adapter à toutes les situations, pour être aujourd’hui un partenaire incontournable du système éducatif dans notre pays.

Quel a été le moteur de l’Enseignement privé laïc c’est-à-dire, qu’est-ce qui a permis à ce secteur du système éducatif de notre pays un développement rapide en l’espace de 50 ans ?

Le présent historique nous permettra dans un premier temps de survoler rapidement les premiers établissements privés laïcs, ensuite de voir les différentes formes d’organisation mises en place et qui ont abouti aujourd’hui à l’UNEPEL et enfin de parler des acquis engrangés tout comme des difficultés rencontrées et des défis à relever.

  1. Les premiers établissements

    Ville

    Etablissement

    Ordre

    Année d’ouverture

    Fondateur

    Bobo-Dioulasso

    Collège de l’avenir

    Secondaire

    1967

    Nazi BONI

    Parents d’élèves

    Primaire

    1967

     

    EPP Guimbi Ouattara

    Primaire

    1972

    Léon Denis COMPAORE

    EPP Tougouait

    Primaire

    1975

    Adama TRAORE

    Collège Laurent Ghilat

    Secondaire

    1966

    Laurent GHILAT

    Ouagadougou

    Collège la Volta

    Secondaire

    1972

    Alfred KABORE

    Lycée Newton

    Secondaire

    1972

    Anatole YAMEOGO

    EPP Yenega

    Primaire

    1972

    SABA

     

    1. Les différentes formes d’organisation

    Depuis l’ouverture des premières écoles jusqu’en 1972, il n’y avait pas des structures formelles de regroupement des fondateurs. Avec le nombre grandissant d’établissements privés, la nécessité de s’organiser s’est vite imposée. Ainsi, l’UNEPEL a été créée en 1973 et reconnue officiellement en 1975.

    En 1975, s’est tenue à Ouagadougou, la première assemblée constitutive de l’Association des Etablissements d’Enseignement Privé non Conventionnés de Haute Volta (AEEPNC/HV), avec pour 1er président M. Anatole YAMEOGO, Fondateur du Lycée Newton Descartes à Ouagadougou. Les objectifs visés étaient de fédérer tous les fondateurs de l’époque, d’adopter une plateforme commune et de la défendre auprès des autorités pour un mieux-être des structures scolaires privés. L’Assemblée Générale (AG) qui était l’instance suprême se réunissait tous les ans.

    En 1976 s’est tenue la 2e AG à l’issue de laquelle M. Norbert OUEDRAOGO Fondateur du Collège Naba Oubri a été élu 2e président en remplacement de M. Anatole YAMEOGO.

    En 1977, 1978 et 1979 se sont tenues respectivement les 3e, 4e et 5e AG. Le Président élu était durant cette période M. Norbert OUEDRAOGO.

    En juillet 1980, l’AEEPNC/HV s’est muée au cours du congrès constitutif tenu à Ouagadougou au Centre d’Education Ouvrière et a pris la dénomination de Syndicat National des Employeurs d’Etablissements Privés Libres (SYNEPEL-HV).

    M. Norbert OUEDRAOGO a été élu premier Secrétaire Général (SG) du SYNEPEL. Les objectifs de ce syndicat étaient à présent très clairs ; il y avait des intérêts à défendre et les membres ont trouvé l’outil pour le faire. Le SYNEPEL se réunissait tous les ans.

    En 1981, 1982 et 1983 se sont tenus respectivement les 2e, 3e, et 4e congrès. M. Norbert OUEDRAOGO a toujours été réélu SG à chacun de ces congrès.

    Pendant la révolution d’Août (1983) les activités du SYNEPEL ont été suspendues pour incompatibilité avec la révolution. Cette impasse a duré neuf ans.

    En effet, tous les fondateurs ont été victimes de l’Etat d’exception. Au cours d’une réunion du bureau du SYNEPEL au collège Louis Pasteur (sise cité en III), les fondateurs ont été embastillés par les CDR et conduits à la sûreté de l’Etat pour un interrogatoire muselé. Cette réunion faisait suite à la lettre du Ministre de l’Education Nationale qui réduisait les frais de scolarité du primaire au secondaire.

    Tous les établissements étaient soumis à des comités de gestion population avec en tête un président de gestion provenant d’une personne autre que le fondateur. Cette époque fut très difficile pour les fondateurs qui avaient des crédits dans les institutions bancaires, sans compter la CNSS et les Impôts.

    Le trésorier, fondateur du collège Louis Pasteur a été détenu pendant 9 jours à la sûreté de l’Etat, après la libération des autres membres du bureau. Son établissement fut d’ailleurs même racheté à vil prix.

    En 1992 à la faveur de l’adoption de la constitution de la 4e République, s’est tenu le 5e congrès. Le SG élu était M. Norbert OUEDRAOGO. Au cours des travaux de cette instance, il a été décidé que les congrès se tiendraient maintenant tous les deux ans.

    En 1994 et 1996 se sont tenus respectivement les 6e et 7e congrès du SYNEPEL. Le SG élu à chacun de ces congrès était M. Norbert OUEDRAOGO.

    En 1998 s’est tenu le 8e congrès. M. Norbert OUEDRAOGO cède son poste de SG à Madame DRABO/Ghilat Béatrice.

    Les principales activités menées 

    – le SYNEPEL part en 2002-2003 à l’atelier national de validation du 1er cahier de charges des établissements d’enseignement secondaire privés. Avec détermination, le SYNEPEL a défendu l’enseignement privé a pu faire adopter des dispositions favorables à l’enseignement privé dont la suppression des mesures tendant à ôter au fondateurs ses prérogatives de gestionnaire responsable dont les comités de gestion, et la réduction du nombre de professeurs permanents qui étaient contenues dans le projet.

    Le SYNEPEL a négocié et obtenu :

    • la non application de l’IUTS aux professeurs vacataires ;

    • la prise en compte des préoccupations des fondateurs dans la mise en œuvre du projet de financement de l’enseignement privé par la banque mondiale ;

    • l’aboutissement favorable des négociations avec les syndicats de modification de la grille salariale suite à une augmentation de salaires décidées par le gouvernement ;

    • la non fermeture par une autorité de l’école le petit monde ;

    • etc.

    Suite à la démission de Mme Drabo pour raisons personnelle, M. Harouna TOGUYENI vice-président assure par l’intérim du aout 2004 jusqu’au 9ème congrès tenu en décembre 2004 et gère les activités du SYNEPEL.

    En 2004, se tient le 9e congrès au Conseil Burkinabè des Chargeurs. A l’issue de ce congrès, de nombreux changements sont introduits dans les statuts et règlement intérieur. Le mode d’élection devient la candidature de liste, les régions sont prises en compte dans la formation du bureau national, les mandats du président sont limités à deux, la durée du mandat est de trois ans, la dénomination SYNEPEL est muée en UNEEPL, des vices présidents sont élus pour représenter les ordres d’enseignement. M. Harouna TOGUYENI est élu à ce congrès 4e Président de l’UNEEPL.

    En 2007 se tient le 10e congrès de l’UNEEPL au CBC à Ouagadougou. M. Harouna TOGUYENI est réélu Président de L’Union pour un second et dernier mandat de trois ans.

    En 2011, se tient le 11e congrès de L’UNEEPL au Centre Muraz à Bobo Dioulasso. M. Ismaël TOURE a été élu 5e président de l’Union.

    D’autres changements interviennent dans la structuration avec notamment la création d’un conseil d’administration de trente-trois (33) membres qui comprend les dix (10) membres du Bureau Exécutif National (B.E.N) les treize (13) Coordinateurs Régionaux et dix (10) représentants nationaux des ordres d’enseignement (soit deux (02) par ordre : préscolaire, primaire, secondaire général, secondaire technique et supérieur) ainsi que la création d’un poste de Président d’honneur décerné pour la première fois à Monsieur TOGUYENI Harouna.

    Les différents bureaux des fondateurs qui se sont succédé depuis 40 ans ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour défendre les intérêts des membres et de l’Enseignement privé laïc. Naturellement, il y a eu de nombreux acquis mais les difficultés n’ont pas manqué et il reste des défis à relever.

    En 2013, se sont tenus le 12e congrès et le 40e anniversaire de l’UNEEP-L à la maison des jeunes Jean Pierre GUINGANE à Ouagadougou. M. Issa COMPAORE a été élu 6e Président de l’UNEEP-L.

    En 2016, se tient le 13e congrès de l’UNEEP-L au centre cardinal Paul Zoungrana à Ouagadougou. M. Issa COMPAORE a été réélu pour un second et dernier mandat de trois ans.

    Des changements interviennent dans la structuration réduisant le nombre de membres du Conseil d’Administration à vingt-quatre (24), comprenant les onze (11) membres du Bureau Exécutif National (B.E.N) et les treize (13) Coordinateurs Régionaux.

    En 2019, se tient le 14e congrès de l’UNEEP-L au centre Cardinal Paul ZOUNGRANA à Ouagadougou. Dr. Désiré NAKOULMA a été élu 7e Président de l’UNEEP-L.

    En 2022, se tient le 15e congrès de l’UNEEP-L au Conseil Régional des Hauts Bassins à Bobo-Dioulasso. Un changement intervenu sur l’appellation de l’Union. En effet, depuis le 9ème congrès de 2004, la faîtière des établissements privés d’Enseignement Laïc est passée de « Syndicat National des Employeurs d’Etablissements Privés Libres » (SYNEPEL), à « Union Nationale des Etablissements d’Enseignement Privé Laïc » (UNEEP-L). Cette nouvelle appellation posait un problème de compréhension : qu’est-ce qui est laïc ? l’établissement, ou l’enseignement ? Qu’est-ce qui est privé ? l’enseignement ou l’établissement ?

    Le 15ème congrès, conformément à ses prérogatives, a tranché en adoptant la nouvelle dénomination suivante : Union Nationale des Etablissements Privés d’Enseignement Laïc, en abrégé UNEPEL.

    Monsieur ILLY B. Benoit est à ce congrès élu 8e Président de l’UNEPEL.

    1. Les acquis engrangés, les difficultés rencontrées et les défis à relever

    1°) Les acquis

    • Sur le plan de l’organisation :

    1. La construction du siège de l’UNEEPEL à Ouaga 2000 et son inauguration en septembre 2011 ;

    2. La réorganisation de l’UNEPEL par la mise en place des coordinations régionales qui a permis une forte adhésion des fondateurs ;

    3. L’institution des vice-présidents chargés des ordres d’enseignement qui ont permis un meilleur ancrage des ordres d’enseignement (en particulier l’enseignement supérieur) à l’UNEPEL ;

    4. La tenue régulière des instances statutaires ;

    5. La formation régulière des fondateurs sur la gestion financière et administrative de leur établissement ;

    6. L’augmentation des établissements privés conventionnés avec un taux annuel de progression de 10 à 20% chaque année au niveau du post-primaire et du secondaire surtout ;

    7. Efforts considérables dans le respect des programmes et du calendrier scolaire ;

    8. L’accroissement du nombre d’adhésion à l’UNEEPL d’année en année ;

    9. L’évolution croissante des effectifs des étudiants dans le privé chaque année ;

    10. La diversification de filières de formation sont proposées dans tous les domaines ;

    11. L’ouverture des comptes bancaire : BICIA/B, ECOBANK ;Coris Bank.

    12. La construction du siège de l’UNEPEL de la région des Hauts Bassins ;

    13. L’élaboration d’un plan stratégique pour doter l’Union d’une vision et d’un plan d’action opérationnel 2022-2026 de l’UNEPEL ;

    14. L’élaboration d’un manuel de procédure administrative, comptable et financière.

    Sur le plan des rapports avec les autorités

    Nous ne cherchons pas à les énumérer tous mais plutôt citer les plus importants.

    1. La signature de la convention collective de l’Enseignement privé en 1979 qui a permis de régler les rapports de travail entre les fondateurs et leurs travailleurs.

    2. Le rejet des comités révolutionnaires de gestion dans les établissements privés laïcs institués par le gouvernement du CNR en 1984. La mobilisation des Fondateurs a été tellement forte que la mesure a été assouplie au bout de la deuxième année d’application avant d’être définitivement levée.

    3. La révision en 1992 à la hausse des frais de scolarité (+5000 francs). En rappel, ces frais avaient été arbitrairement cassés de moitié par le gouvernement du CNR en 1984.

    4. Après la Rectification en 1987, à l’instar des autres personnes qui ont été victimes des exactions du CNR, les fondateurs ont demandé que les préjudices qu’ils ont subis pendant la Révolution soient réparés. C’est dans ce cadre que les arriérés de cotisations sociales des travailleurs à la CNSS ont été apurés.

    5. La signature en 2005 d’une convention d’affectation des élèves admis à l’entrée en 6e et à l’entrée en seconde dans les établissements d’enseignement privés laïc.

    6. La signature en 2006 de la convention d’éducation ETAT/UNEEPL dans laquelle une subvention de fonctionnement de 250 000 000 francs CFA est accordée à l’Enseignement privé laïc.

    7. La dénonciation de la convention collective de 1979 par l’UNEEP-L et la rédaction d’une nouvelle convention collective. Cette relecture a fait l’objet de deux ateliers de négociation entre l’UNEEPL et les partenaires sociaux.

    8. L’exonération à la patente et à la taxe patronale et d’apprentissage au profit des établissements d’enseignement.

    9. Le reclassement des établissements aux BNC.

    10. La réduction obtenue en collaboration avec les syndicats du taux de retenue à la source sur les vacations qui est passé de 10% à 2%.

    11. La réduction obtenue sous la direction du CNPB du taux de cotisation patronale CNSS qui est passé de 18% à +16%.

    12. L’obtention d’une taxe favorable sur l’établissement des titres fonciers.

    13. L’adoption de cahiers de charges de l’enseignement supérieur expurgés des dispositions défavorables à l’enseignement privés.

    14. La signature de la convention collective de l’enseignement privé laïc en 2016 ;

    15. L’acquisition du FONER pour les étudiants du privé.

    16. L’éffectivité du protocole d’affectation des étudiants dans les IPES.

    17. L’octroi de 15 bus de transport aux IPES ;

    1. les statistiques des résultats scolaires :

    L’examen du CEP

    Année scolaire

    Privé

    Public

    Totaux

    Fréquence du privé

    2013-2014

    11 744

    203 307

    215 051

    05,46%

    2014-2015

    34 185

    187 053

    221 238

    15,45%

    2015-2016

    31 793

    165 721

    197 514

    16,10%

    2016-2017

    41 981

    140 462

    182 443

    23,00%

    2017-2018

    39 846

    189 605

    229 451

    17,36%

    TOTAL

    159 549

    886 148

    1 045 697

    15,25%

    L’examen du BEPC + BEP + CAP

    Année scolaire

    Privé

    Public

    Totaux

    Fréquence du privé

    2013-2014

    5 787

    6 954

    12 741

    45,42%

    2014-2015

    6 697

    8 726

    15 423

    43,42%

    2015-2016

    7 808

    10 119

    17 927

    43,55%

    2016-2017

    9 887

    11 420

    21 307

    46,40%

    2017-2018

    10 078

    12 904

    22 982

    43,85%

    TOTAL

    40 257

    50 123

    90 380

    44,54%

    Le Préscolaire

    Année scolaire

    Privé

    Public

    Totaux

    Fréquence du privé

    2013-2014

    1809

    286

    2095

    86,34%

    2014-2015

    1915

    301

    2216

    86,42%

    2015-2016

    1237

    299

    1536

    80,53%

    2016-2017

    1638

    378

    2016

    81,25%

    2017-2018

    2196

    461

    2657

    82,53%

    TOTAL

    8795

    1725

    10 520

    83,60%

    Statistiques des étudiants et inscription au privé

    Année scolaire

    Privé

    Public

    Totaux

    Fréquence de progression du privé

    2013-2014

    17 372

    63 942

    81 314

    21,36%

    2014-2015

    19 121

    64 477

    83 598

    22,87%

    2015-2016

    23 227

    71 501

    94 728

    24,52%

    2016-2017

    22 817

    82 587

    105 404

    21,65%

    2017-2018

    26 080

    91 645

    117 725

    22,15%

    TOTAL

    108 617

    374 152

    482 769

    22,50%

    NB : Ce taux moyen de 22,50% va connaitre une croissance considérable en 2018-2019 ainsi que dans les années à venir grâce à l’affectation des étudiants par l’Etat au privé.

    2°) les difficultés

    1. La création en 1984 des comités révolutionnaires de gestion qui étaient une forme de confiscation des établissements privés laïcs. Les fondateurs ont connu de nombreuses difficultés financières.

    2. La réduction en 1984 de moitié des frais de scolarité par le gouvernement du CNR. Ainsi, ces frais sont passés à 10 000 francs pour le primaire, 40 000 francs pour le premier cycle du secondaire, 50 000 francs pour le second cycle du secondaire, 35 000 francs pour l’Enseignement technique. Ces réductions brutales et excessives ont créé de nombreuses difficultés de fonctionnement à l’ensemble des établissements privés laïcs.

    3. Les difficultés pour obtenir auprès des banques des financements d’investissements ou de trésorerie, le secteur ayant été jugé non rentable.

    4. la répartition des élèves affectés n’est pas équitable entre les établissements et entre les zones,

    5. La procédure de gestion administrative du dossier est lourde et longue.(lourdeur administrative)

    6. La non implication de certains fondateurs dans le traitement des dossiers ;

    7. La non application effective de certaines clauses de la convention d’éducation ETAT/UNEEP-L.

    8. Les retards de paiements des frais de scolarité.

    9. L’Insuffisance d’enseignants en qualité et en nombre .

    10. La mauvaise formation des enseignants.

    11. Grève des apprenants

    12. La grève et mouvement d’humeur des enseignants

    13. Le phénomène du terrorisme

    3°) Les défis

    Ils sont très nombreux. Nous allons citer quelques-uns.

    1. La lutte contre les écoles pirates ;

    2. L’amélioration de la qualité de l’enseignement et de la bonne gouvernance des établissements privés ;

    3. Le renforcement des capacités organisationnelles de l’UNEPEL, outil indispensable de gestion des problèmes des fondateurs ;

    4. Le renforcement du partenariat avec l’Etat ;

    5. L’application effective de toutes les clauses de la convention d’éducation Etat/UNEPEL et l’augmentation du montant de la subvention de fonctionnement allouée chaque année aux établissements d’Enseignement privé laïc ;

    6. l’octroi par l’Etat du statut d’association d’utilité publique à l’UNEPEL ;

    7. La mutation à terme de l’UNEPEL en Chambre des métiers de l’enseignement ;

    8. le renforcement de plaidoyer et de dialogue social ;

    9. le renforcement des capacités financières ;

    10. le renforcement de la communication et de la visibilité de l’UNEPEL.